Appareillage
Eclaireuses Eclaireurs de France
Groupe Lapérouse de Boulogne-Billancourt

Historique

groupe laperouse 1948

Le groupe Eclaireurs Eclaireuses de France Jean-François de Lapérouse a été créé en 1945 par Pierre LEVY (Chevreau). Il a été dirigé par lui jusqu’en septembre 2001.

A la suite d’une élection par les plus de 16 ans, Wallyd BENCHIKH (Gayal) a été élu Responsable du Groupe jusqu’en 2004. Il a été suivi par Yves LASSAGNE (Pécari), puis Dorothée DE LAPOYADE (Lionne), Fanny Peigné (Tayra), Emma Mouton (Twiga), Amélie Debatisse (Panda), Caroline Berreby (Hulotte) dirige aujourd’hui le groupe depuis fin 2022.

Liste des camps du groupe
Historique des effectifs

Voir aussi :
1954 – Camp d’hiver au ski
1972 – Les Grandes Questions
1993 – Italie : le camp des routiers

70 ANS D’EXISTENCE UNE BELLE HISTOIRE

1945
Création du groupe par Pierre LEVY et quelques amis pendant une période bien troublée mais porteuse d’un nouvel élan.

1946
Ces années furent difficiles pour le groupe. L’après guerre ne facilitait pas les transports, le ravitaillement, le matériel, mais le groupe Lapérouse a pris ses marques et son style, aidé en cela par Chevreau Ces années sont aussi celles des sorties à pied de la meute de l’Alisier, de la solide maîtrise encadrant les deux troupes d’éclaireurs. Les activités sont mises au point par Bagheera, Loutre (Jacques Haguenauer), Gerboise (Paul Brahms) et Chevreau. Premiers efforts des parents qui n’hésitent pas à prêter main forte pour palier aux hésitations de ces premières années. Un très bon film, «Alerte au camp», donne l’exemple du dynamisme de ces années folles. Les réunions des parents s’organisent chez Jacques Haguenauer.

1947
Les plus grands éclaireurs rejoignent les routiers du district : Le clan de l’Arc. C’est aussi l’année de découverte de la Suisse, (ski, escalades, randonnées…) Participation au Jamborée qui se déroule en France. Le groupe quitte le district de Chaillot pour le district Dugesclin (Paris Sud Ouest). Monsieur Vautier, adjoint au maire, aura la gentillesse de nous loger à la Mairie du XVIème arrondissement. Nous participons à la fête du Charivari à Boulogne-Billancourt en y vendant des confettis. Nous organisons notre première fête de groupe. Plusieurs autres suivront et seront organisées afin que chacun puisse s’exprimer et manifester sa joie. Ces fêtes de groupe deviendront notre vitrine et enthousiasmeront parents, amis et élus locaux.

1948
Notre quatrième camp de groupe a lieu à Quimperlé dans la joie et sous la pluie. Trégastel, Pouance et Bellevaux furent nos précédents camps.

1949
C’est l’entrée au groupe de nos premières éclaireuses avec la compagnie du Hameau (lycée La Fontaine) ainsi que l’apport de quelques garçons de l’ex groupe Gaston de Foix. Nous grandissons : une meute de louveteaux, une troupe d’éclaireuses, deux troupes d’éclaireurs. Notre fête annuelle est un grand succès, plus de trois cents spectateurs, un programme et un buffet garni, des parents et amis généreux et efficaces, un commissaire général E.D.F satisfait. Le groupe s’internationalise : Camp d’été à Moux dans la Nièvre, à proximité du lac des Settons. Nous passons ce camp en compagnie de la troupe Charcot de Casablanca (Nous irons au Maroc l’année prochaine). 1949 est une année de succès à tous niveaux: La troupe Lapérouse, première au rallye du district, reçoit la garde du gonfanon de district. La coupe Broche est gagnée par la patrouille des dauphins. Les ours se classent brillants seconds avec 1 point d’écart.
Les Tisons de Cappy sont remis au chef de groupe Pierre Lévy, qui devient adjoint-commissaire de district éclaireurs. Le comité des parents et amis s’étoffe et s’organise.

1950
Nous organisons un gala à la mairie du XVIème avec vedettes et orchestre. Les éclaireurs vont au Maroc reçus par la troupe Charcot de Casablanca, qui nous rend la politesse de l’année précédente, après un camp de pâques à Cloyes fort réussi et un camp de Pentecôte à Cappy. Les éclaireuses se rendent en Grèce sur la trace des anciens et s’embarquent à Pâques à la Flotte de Ré pour un camp de brevets.
Tous s’adonnent à des activités diverses : Ping-pong, photo, piscine, bibliothèque, poterie, layette, travail du feutre, topographie. Tout cela bien que nous soyons de nouveau sans local de Groupe.

1951
Nous retrouvons un local et les activités s’intensifient. Camp d’été à Malpas, pluie et soleil, escalades, excursions en Suisse, navigation sur le lac de Saint-Point, souvenirs enfuis, le local aussi.

1952
le Groupe continue son action. Camp de Tursac, camp national de brevets à Mousseau.

1953
Camp en Corse, camp national de brevets à Sapinville, Rossum. Cappy à pâques pour les éclaireuses, en juillet pour les louveteaux. Nous nous fixons un but pour 1953 : Réunir le Groupe au complet au cours d’une journée de plein air: louveteaux, éclaireuses et éclaireurs, bien sûr, mais aussi parents et amis, voici qui est nouveau ! Faire vivre à tous une journée des activités du groupe. Signalons aussi l’opération muguet que nous reprendrons plus tard en 1965.

En 1953 aussi, fait important pour le groupe, l’opération « Canada » qui fut pour nous un des grands moments de l’histoire du groupe.

1954
Recherche d’un local qui manque aux activités d’hiver. Tout le monde se retrouve à la belle saison pour :

  • Un camp national aux «Courmettes » (éclaireuses)
  • Opération «Canada 54 », une tradition qui se perpétue
  • Redémarrage du clan qui construit un triton géant. Certains s’en souviennent peut-être ?
  • Camp provincial de haute patrouille
  • Un comité de parents et amis qui va bien
  • Opération calendriers

1955
Une année qui commence dans la neige au chalet de Larmont (Pontarlier) où l’on vit un éclaireur skier en culotte courte. Une troupe d’éclaireuses qui se porte mieux et qui participe au camp de Pâques avec les éclaireurs.

  • Opération Canada
  • Camp de Pâques à Cappy avec challenge et olympiades
  • Camp d’été pour le groupe aux Eyzies (Dordogne) où nous découvrons de nombreuses grottes.

1956
Enfin un local ! La Maison des Jeunes et de la Culture (MJC) nous accueille. C‘est le début d’une longue et fructueuse collaboration. Il faut d’abord aménager puis les activités reprennent.
Camp de Pentecôte à Cappy (louveteaux) et à Milly (éclaireuses et éclaireurs)
Camp d’été de groupe à Hohrod, dans la vallée de Munster.

1957
Les activités atelier s’épanouissent complétées par des cours. Secourisme, orientation et topographie, natation. cours par les sapeurs pompiers, photo, transmission, modélisme.

  • Camp d’hiver en Suisse.
  • Camp de pâques itinérant entre Ste Maxime et Toulon
  • Camp d’été à St Jeoire pour les louveteaux et en Bretagne pour les troupes

1958
Camp de Pentecôte à Roinville: une réussite technique… au dire des animateurs; Il est vrai que ce camp ouvrait droit au camp d’été de St Martin d’Ardèche. Cette année 1958 est remarquable par un effort commun pour améliorer la valeur technique du groupe et pour orienter les activités vers les connaissances modernes de notre époque.
Renaissance cette année de nos fêtes de groupe, indispensable à l’embonpoint de notre trésorerie. Camp d’été dans les Cévennes, avec ascension par les loups du massif de l’Aigoual. Excursion aux Saintes-Maries de la Mer et sa chasse aux moustiques.

1960-1964
Un rappel des camps :

  • Kandersteg (avec et sans neige, mais toujours du ski)
  • La Forêt Noire (et le méchoui)
  • Cayres (le camp sur pilotis, les bivouacs)
  • La Corse (longues étapes sous le soleil. les amas, le bateau)
  • Ranchal (Cantonnement Iouveteaux)
  • Saint-Cirgues, (Camp pour les éclaireuses, Rocamadour et ses orages).

1965
Nous fêtons notre 20ème anniversaire dans la joie et recevons à notre kermesse, la visite de personnalités et de nos anciens. Nous sommes nombreux et chaudement entourés par nos amis et parents. En janvier, changement de couleur de chemise : du beige pour le gris.
Cette année là, nos éclaireurs vont en Corse, nos louveteaux à Sainte-Suzanne et les éclaireuses au Pelvoux. Le camp d’hiver a lieu à Kelchsau en Autriche. Nous participons avec tous les jeunes de France à l’élaboration du Livre Blanc De La Jeunesse, hélas notre travail fût sans doute perdu dans le labyrinthe des couloirs de l’administration ; Nous regrettons avec tous les jeunes que ce travail accompli de bon coeur et avec sérieux ne fût pas suivi d’effets. Le groupe participe à la campagne mondiale de lutte contre la faim en aidant plus particulièrement les Kaydis (éclaireurs malgaches) dont l’action va dans le sans de l’instruction et de l‘éducation du peuple malgache, afin de résoudre le problème de la faim par la mise en culture des. terres et le développement de l’élevage. Nos camps d’été ont lieu à la Merlerie, dans l’Allier pour les louveteaux. tandis que les éclaireurs et éclaireuses descendirent l’Ardèche en radeaux.
Tout le monde passe les fêtes de fin d’année à Luz Saint-Sauveur dans les Pyrénées.

1967
Cette année fut particulièrement bénéfique à l’amélioration des techniques scoutes; Nos patrouilles se distinguent: (2 patrouilles pilotes) mais hélas plane l’incertitude sur l’avenir de nos locaux, du fait de la destruction prochaine de la MJC. Nos camps ont lieu à Cayres (camp technique) et à Saint-Privat en Corrèze pour les louveteaux.
Nous nous retrouvons à Zell Amsee en Autriche, pour un camp d’hiver confortable en hôtel.

1968
C’est une année perturbée qui nous a quand même permis de faire du bon travail: nos jeunes étant disponibles, nous avons complété une formation technique et organisé quelques week-ends plein air supplémentaires.
Les craintes sur l’avenir de nos locaux se précisent de plus en plus. Les camps d ‘été s’organisent tout de même à Villars-Saint-Christophe dans l’Isère pour les éclaireurs. avec activités multiples : Olympiades, randonnées en montagne (le Taillefer 2757 m), explorations, enquêtes, journées service auprès des habitants de la région. Les louveteaux passent le mois de juillet à Valloires, dans un chalet de l’association, Morgins en Suisse  fût le théatre de nos activités d’hiver.
Beaucoup de travail a été accompli pour transformer d’anciennes écuries en local convenable pour une centaine de jeunes de 8 à 16 ans – Le nouveau local se situe rue de Silly – Le camp d’été 1969 se déroule en Corse, pour un camp itinérant, tandis que les louveteaux iront en cantonnement régional de regroupement. Et tout le groupe se retrouve pour le camp de ski à Saint-Lary dans les Pyrénées.

1970
Le camp d’été se passe à Poursange (Allier) près de Langeac. La grande aventure consistera en une descente en radeaux de l’Allier, alors que les louveteaux se retrouvent en un autre cantonnement régional. Camp d’hiver 70/71 toujours dans les Pyrénées, mais cette fois ci à Gourette. Tout le groupe y participe. Le niveau de ski progresse régulièrement. Nous arriverons peut-être un jour à avoir, sinon notre chalet, tout au moins un point de chute stable.
Les années 1971 à 1974 s’écoulent une à une selon les même principes : les activités se déroulent régulièrement toute l’année. Les camps d’été des éclaireuses et éclaireurs durent 3 semaines au mois de juillet, les louveteaux continuent de participer aux cantonnements régionaux. Acquisition d’un terrain de 2000 M2 à Superbesse

1971
Camp à la Motte Chalancon avec une grande aventure dans le Vercors : l’escalade du Grand Veymont.

1972
THEL (mont du Beaujolais): la grande aventure nous amène dans le massif de Belledone au départ de Chamrousse.
Témoignage d’un ancien : A Thel 72, 3 patrouilles  de garcons : Albatros, Barracudas, Ours et 3 de filles : Potoroos, Chinchillas, Cerfs. A la rentrée, passage d’environ 12 louveteaux et 5 ou 6 louvettes aux éclés, et création des Dauphins avec Bertrand M. (Oryx) comme SP, et 6 ex-louveteaux. Chez les Ours, CP Pascal, SP Yves.

1973
camp à Ruoms (Ardèche), nous descendrons l’Ardèche en radeau de Ruoms à Saint-Martin, par dessus de nombreux barrages jusqu’à Vallon-Pont-D’Arc à travers les gorges. Ah les rapides…

1974
Nouvelle initiative : Le centre d’intérêt est l’équitation. d’où le camp près de SAINT AFFRIQUE. Réalisation d’une randonnée équestre de 3 jours sur le plateau du Larzac avec rassemblement général à la COUVERTOUARADE. Les camps d’hiver, toujours en groupe se dérouleront à SAMOENS en Savoie, à MATEMALE dans les Pyrénées et de 1973 à 1975 au col des GETS en Haute Savoie.

En 1975, peu avant le camp d’été, le conseil de groupe constate une déviation dans les méthodes utilisées chez les louveteaux. Sous l’influence des équipes régionales agissant au cours des cantonnements, il y a suppression des traditions et des méthodes scoutes. Loi, promesse, progression, organisation des sizaines, tenue etc… Les répercussions se font directement sentir chez les louveteaux et indirectement chez les éclaireurs. Le changement de politique se traduit par une chute spectaculaire des effectifs. Nous décidons malgré les orientations prisent par l’association, de revenir aux méthodes du scoutisme tout en consentant l’évolution nécessaire au modernisme. Dans cette tourmente nous fêtons néanmoins notre 30ème anniversaire, preuve d’un sérieux dans la gestion du groupe.
C‘est le camp de 1975, camp de groupe qui marque le virage. Nous nous retrouvons à LA PLAGNE (SAVOIE), nous bénéficions de l’appui de responsables du groupe PIERRE DEJEAN. Nous vivons un très bon camp. Les éclaireurs parcourent pendant 3 jours le massif de BELLEDONNE.
Cependant les responsables de louveteaux formés sous I’influence régionale de l’époque nous abandonnent. La meute repart, menée par CHEVREAU avec GAZELLE, chef du groupe PIERRE DEJEAN, et GERBOISE, mère d’un louveteau, qui avait une expérience dans l’animation. De nouveaux responsables apportent leur aide. C’est la fin du creux de la vague: Le groupe est reparti.

1976
ETUEFFON est choisi comme site du camp d’été. Au pied du ballon d’Alsace, nous sommes voisins du groupe PIERRE DEJEAN. Les différentes unités du groupe voisinent en sous camps séparés. Camp d’hiver particulièrement satisfaisant: les COLLONS en SUISSE. Les effectifs remontent.

1977
Camp de groupe à BARJAC répartis en sous camps (Nous accueillons des éléments du groupe de PUTEAUX). Les éclaireurs font une nouvelle fois la descente de l’Ardèche en radeaux montés cette fois-ci sur chambres à air de camion, radeaux prenant quelquefois allure de sous-marins. L’homme à la matraque veille sur le camp louveteaux. Création de la patrouille des cormorans à la rentrée. Camp d’hiver à VARS dans les Alpes du Sud : chalet moyen, navettes pénibles, mais très belles pistes.

1978
Camp de groupe à ARECHES, dans le Beaufortin. Randonnées des éclaireurs dans le massif du BEAUFORT. Nous accueillons des éléments du groupe du Mans. Eté peu ensoleillé. Camp d’hiver à Saas Grund. Nous skions à Saas Fee. Des navettes et une station où il faut beaucoup marcher rendent ce camp moins agréable que les précédents.

1979
C’est à Mauriac, entre Villefranche de Rouergue et Villeneuve d’Aveyron que nous établissons notre camp. Nous accueillons une nouvelle fois le groupe du Mans. Nous conservons le souvenir d’un bon cantonnement, d’un temps et d’un site magnifique et d’un grand jeu mouvementé. Les Crosets en Suisse va devenir le lieu de camps d’hiver pour de nombreuses années : au pied de superbes pistes, nous passerons des journées inoubliables à ski. Nous décidons d’y retourner le plus vite possible. Les effectifs continuent à progresser et le groupe à se renforcer.

1980
Les éclaireurs et éclaireuses passeront le camp à Thel; Les louveteaux seront à quelques kilomètres de là à Ranchal. Nous sommes reliés par radio, « allo carrosse, ici moustique !“.
Le camp d’hiver nous fait connaître une nouvelle région de SUISSE, la vallée de Gruyère au camp de Charmey.

1981
Cantines pour tous de la pluie, de la pluie et de la pluie. Mais aussi de fantomatiques enlèvements d’éclés et des Dauphins nageant dans la boue. Camp d’hiver aux Crosets.

1982
Pour le clan de la panthère, camp d’été à Osséja dans les Pyrénées Orientales; Le point d’orgue : une tente sur pilotis à trois niveaux. Pour les routiers, ce camp établira de solides amitiés et aménera un important flux de jeunes responsables. Les éclaireuses et éclaireurs se retrouveront à la Planche avec le groupe de Sèvres et participeront à un super grand jeu du 3ème type. La patrouille des Albatros disparaitra après ce camp. Et souvenez-vous de cette demi-finale FRANCE-ALLEMAGNE Les louveteaux l’ont même suivi pendant une veillée à la radio ! ! Camp d’hiver à Broc.

1983
Camp d’été au Dolmen, dans le département du Lot, grande chaleur, grand jeu commun qui aura marqué. Souvenez-vous de Gédéon et aussi de Chevreau déguisé en curé. Les éclaireurs descendent le Lot en radeaux… à la rame.

1984
Camp dans les Alpes à Orcières pour les louveteaux, distant de quelques kilomètres d’Archinard, un splendide site pour les éclaireurs. Les ainés feront le tour de l’Oisans et inaugureront les films souvenirs.

1985
Camp d’été à Coat Ermit, en Bretagne, les louveteaux seront les stars d’un film sur la Gaule. Principales activités du Clan: Un film et le débroussaillage d’une rivière. Superbe journée commune en excursion des îles bretonnes. Nous fêtons notre 40ème anniversaire
Camp d’hiver aux Crosets avec une superbe chorégraphie sur Michael Jackson.

1986
Camp d’été à Cantines. Le clou du camp : des transmissions en morse d’une colline à l’autre entre 7 patrouilles au grand complet. Au tour de Merle, le clan participe tous les jours au son et lumière. Dans la journée, ils vendent des friandises aux promeneurs.
1986 offre de nouvelles activités au groupe : des opérations d’envergures telles que le débroussaillage dans le sud de la France, une descente aux flambeaux à Montmartre, une participation dans l’organisation du triathlon des Hauts-de-Seine, permet au groupe Lapérouse de prendre pleinement conscience de son utilité publique (association loi 1901) et de s’investir en servant son pays et l’amitié entre les hommes.

1987
Camp d’été en Irlande. Points forts: une superbe grande aventure à travers le Wicklow Way, un grand jeu dont certains (certaines) se souviendront; une bruine persistante et des « meegees »(moustiques voraces).
Les louveteaux seront en Bretagne à Plouay. Un fameux pique-nique à l’île aux Moines, suivi par la visite de Vannes et d’un son et lumière grandiose à Elven resteront dans les mémoires.
C‘est aussi l’année du 1er camp routiers-responsable en Afrique (Côte d’Ivoire) qui marquera tous les esprits et qui sera le précurseur d’une longue série.

1988
De grandes chaleurs auront marquées les éclaireurs à Carpentras. Ascension du Mont Ventoux, cure de melons et journée trappeur seront les moments forts de ce camp. Les louveteaux passeront un camp dans la tradition à Begude, près de Montélimar.

1989
En Mai, le groupe fera un voyage intergalactique à la Coumeuve dans le cadre de «Navigator », une activité nationale regroupant l’ensemble des EEDF : Clou du rassemblement : Un concert d’Yves Duteil sous un immense chapiteau.
Camp d’été à Briançon: les troupes se feront attaquer par des motards au cours d’un grand jeu alors que la grande aventure laissera des souvenirs inoubliables. C’est aussi pendant ce camp que le groupe fera sa première expérience de rafting. Invitation pour quelques jours des guides cannadiennes. Camp au TIERCAUX pour les louveteaux. Deuxième camp en Côte d’Ivoire et construction d’une case de santé.

1990
Québec : Le départ se fera en groupe, mais les activités en unités avec les scouts de Cap Rouge. Les éclaireuses et éclaireurs participent à un camp international. Les ainées se partageront entre du canoë, de la bicyclette et une randonnée, tandis que les louveteaux passeront leur temps dans l’eau, entre rivières et lacs, entre planche à voile et voiliers -Trois adjoints au maire de Boulogne feront une visite à nos éclés à Québec, expériences fascinantes pour tous. C‘est aussi l’année du 45ème anniversaire du Groupe LAPEROUSE

1991
Louveteaux et éclés se retrouvent à Villars St Pancrace. Les louveteaux enquêtent dans l’ambassade de Gerbovie: Le Lunotron a été dérobé; Au même moment, les routiers découvrent les massifs du Beaufortin en V.T.T et randonnée.

1992
Les louveteaux et éclés se retrouvent à Cautines : Rénovation des bâtiments, débroussaillage et visite des tours de Merles seront les points forts de ce camp. Février 93 : le groupe inaugure le camp d’hiver à dominante ski de fond à Cernebiaud.

1993
Cieux restera dans les souvenirs comme un superbe lieu de camp avec, hélas, peu de soleil. La grande aventure des éclés: la descente en radeau de la Dordogne. Le Clan part en Italie faire de la randonnée dans les Dolomites. Les louveteaux tournent un film sur le voyage dans le temps: «Futur Imparfait». Le groupe se porte bien puisqu’il a assez d’effectifs et de responsables pour créer une deuxième meute de louveteaux : la meute du Merisier.

1994
La Planche: trappeur mémorable avec nuit dans les cabanes puis jeu d’aube. Les ainés ont été vus dans les Pyrénées, à Vicdessos; Camp très sportif avec comme point d’orgue l’ascension du Montcalm et du pic d’Estats.

1995
Le Groupe Lapérouse fête ses 50 ans; Toutes les branches se mobilisent pour organiser une grande fête au château de Dampierre dans les Yvelines : un week-end de festivités réunissent toutes les unités, les parents et de nombreux anciens. Un méchoui, des jeux, un spectacle, un repas bien arrosé et ses traditionnels chants de retrouvailles font de ce week-end une réussite… Cette année, le camp se déroule à Porc-Epic, près de Saumur. Les deux meutes de louveteaux sont désormais complètement indépendantes grâce à l’arrivée de nouveaux respons. Les troupes se lancent dans la construction d’une tour de deux étages dont on parle encore à l’association. On se souviendra des averses de grêlons géants et d’une cérémonie de promesse-investiture au pied du château de Saumur au lever du soleil. La route part à la découverte du Liban, escorté par une cohorte de militaires.

1996
Les effectifs du Groupe continuent à augmenter : les deux meutes comptent chacune une vingtaine de louveteaux et la troupe s’agrandit en recréant la mythique patrouille des Albatros (« toujours plus haut »). Le Groupe part en camp dans un lieu qu’il connaît parfaitement et s’installe à Cautines pour la 4ème fois. Pendant que les louveteaux s’initient à la cosmologie sur un terrain de foot pendant le week-end pédestre, les éclés deviennent complètement paranos à cause d’un mystérieux pêcheur fou ! On retiendra les attaques désespérées du camp respons par des éclés affamés durant le grand jeu « Bouffe » et des inspections de patrouille en plein milieu de la nuit. Le camp du Clan en Grèce a marqué à jamais l’esprit du clan de la Panthère de l’époque !! Un périple qui les mènera des îles des Cyclades jusqu’au sommet du Mont Zeus, et qui les amènera aussi à camper dans un camp naturiste ou à dormir dans divers lieux incongrus tel que le toit d’un super-marché ou les wc d’un camping d’Athènes.

1997
La Troupe Astrolabe se renforce (enfin !) d’une seconde patrouille de filles : les Goélands (« persévérants ! ») renaissent de leurs cendres. Pendant les conseils de Groupe ; on commence à parler de grands projets pour l’an 2000 et un Comité de parents se met en place afin d’aider au fonctionnement du Groupe. Les camps louveteaux et éclés se déroulent à Foucheval, à proximité d’Albi, la ville natale de J. F de Lapérouse. Les campements des louveteaux étaient cette année-là situés sur une étrange pente, ce qui ne les a pas empêchés de réaliser une magnifique randonnée en canoë afin de découvrir la région. Chez les éclés, la lutte fait rage entre les patrouilles qui vivent un challenge très serré remporté au finish par les Dauphins devant les Pélicans pourtant bâtisseurs d’une superbe tente sur pilotis ! Toutes les veillées se dérouleront autour d’un totem réalisé par la maîtrise, les indiens étant bien entendu le thème de ce camp. Pour la petite histoire, rappelons que Foucheval est à ce jour le dernier camp durant lequel deux CP (Siamang et Bison) se sont faits totémisés en tant qu’éclés… Et puis nous n’oublierons pas la mémorable bataille de farine qui ponctuera la journée commune. Pour le clan, c’est l’Afrique ! La Côte d’ivoire voit débarquer les routiers pour un camp chantier dans la zone de Lopou à 60km d’Abidjan. Le clan construit de ces propres mains un dortoir et des sanitaires pour un dispensaire. Levé tous les matins au son harmonieux des chants des ivoiriens, une dernière semaine consacrée au tourisme fera découvrir aux routiers de Lapérouse accompagnés d’éctés israélites la plage de Monogaga, une plage de sable fin entourée d’une jungle luxuriante mais aussi un camp de réfugié libérien qui, malgré leur pauvreté, offrit un repas à toute la route. Tous les anciens sont unanimes, les camps chantier restent une expérience unique qu’il faudra vite remettre à l’ordre du jour !!!

1998
Les effectifs sont au beau fixe ! Une trentaine de louveteaux, une cinquantaine d’éclés, une quinzaine de respons et une Equipe de Groupe plus qu’expérimentée pour encadrer tout ça ! D’ailleurs, une 3ème patrouille de filles voit le jour ( les Frégates : « enthousiastes ! »), ce qui porte à 7 le nombre de patrouilles sur le camp. Celui-ci se déroule à Bécours, haut lieu des EEDF. Transcendés par leur voyage en Afrique, les respons transmettent les jeux et les chants provenant de Côte d’Ivoire grâce au thème du camp : l’Afrique Noire. Du côté des louveteaux, on se promène à dos de chameaux pendant le week-end pédestre et on festoie à la Couvertoirade, grand festin moyen-âgeux à base de tête de cailles. Du côté éclé, les 7 patrouilles se retrouvent pour une grand’av’ spéléo dans les Gorges du Tarn avec quelques petits retards de ravitaillement : les lentilles froides au petit dèj’ en ont régalé plus d’un ! Cette année a été marqué par des constructions exemplaires 2 pilotis, une table uniquement en tenons de mortaise, chevilles et sans ficelle et une épidémie de gastro contraignent louveteaux et éclés à la quarantaine. Et puis comment oublier cette nuit d’un certain 8 Juillet 1998 où la France devient championne du monde !!! Tandis que les éclés profitent de l’explo pour suivre la finale dans leurs villages respectifs, les louveteaux assistent eux à ce beau spectacle en plein air, sur l’écran géant disposé directement par l’association sur le lieu de camp. Et évènement exceptionnel, pas une goutte de pluie (pas une !!!) n’est venu perturber le camp, une 1ère dans l’histoire des camps d’été… jusqu’avant le dernier soir. Et oui, un orage monstrueux s’abat sur le camp le soir de la veillée de fin de camp que même les incantations au soleil de Chevreau ne pourront perturber… Le clan exclusivement masculin s’attaque aux pics d’Europe au nord de l’Espagne.

1999
C’est au Bugues sur un très joli site près de Sarlat que se dérouleront les camps d’été, ville réputés pour ses festivités un étang au centre du terrain et quelques chaînes de montagne autour. Les routiers partiront pour un magnifique périple en Corse qu’ils traverseront d’est en ouest à travers le célèbre Gr20. Pendant 10 jours, marche sous un soleil de plomb au sommet de véritable pics. Après l’effort, le réconfort : une semaine de détente sur les plages de Propriano…

2000
Comme prévu, le Groupe décide de marquer le coup pour célébrer cette année unique. Ainsi, exceptionnellement, les projets de camps seront plus ambitieux et des fonds supplémentaires seront débloqués spécialement pour que cette année soit une réussite. Et pour la 1ère fois depuis bien longtemps, troupes et meute seront séparés. Les louveteaux, rassemblés en une seule meute, planteront leur campement sur l’île d’Oléron. Il faudra attendre la fin de la 1ère semaine de camp avant que le soleil ne montre le bout de son nez mais le mauvais temps n’aura pas empêché les activités de découverte de la région : visite de Ille en VTT, excursion autour du Fort Boyard, découverte du marais aux oiseaux. Le tout entrecoupé par des allers-retours réguliers de la meute le long des 3km de chemins qui séparaient le campement des belles plages de sable fin… Pour les éclaireurs, direction le nord de l’Europe : la Suède. Après quelques difficultés pour arriver à bon port, le camp sera une grande réussite. Au programme : découverte de réserves naturelles, rencontres avec les autochtones, de multiples rencontres avec Dame Nature ainsi qu’une mémorable descente en radeaux pendant la grand’av. Et les éclés se souviendront aussi de ce camp comme l’un des plus pluvieux jamais connu pour cette génération. Le clan profitera de cette année exceptionnelle pour partir en Israël. Après avoir travaillé dur durant l’année pour financer son voyage, la Terre Sainte est prête à accueillir les routiers pour un périple bien préparé. Du nord au sud, de l’ouest à l’est, tout sera (ou presque) parcouru : citons dans le désordre un tour du lac de Tibériade en vélo, des veillées sur le toit de Jérusalem, baignade dans la mer morte, dans le désert du Néguev, visite de Tel Aviv, du Mur des Lamentations, du Mont des Oliviers, escalade du Mont Massada et bien d’autres aventures encore… Oléron, la Suède, Israël… une année exceptionnelle.

2001
Cette année débute dans une ambiance tout à fait particulière puisque Chevreau annonce que cette année sera sa dernière à la tête du Groupe. A la rentré 2002 et pour la 1ère fois depuis la création du Groupe Lapérouse, une assemblée plénière devra se réunir pour élire le prochain chef de groupe. Tout candidat intéressé est donc invité à se faire connaître auprès de Chevreau avec son programme. Cet événement exceptionnel n’empêche pas cependant les unités de préparer le camp de Porc-Epic II dans la sérénité. Ainsi, ce lieu de camp bien connu par tous verra accueillir le plus grand tournoi de badminton de louveteaux jamais organisé. Les ptits loups découvriront le thème de la Chine à travers de multiples activités : un Mystère de Pékin géant, un COCU asiatique… mais aussi des olympiades musclées. Les éclaireurs rentreront d’un grand jeu sous une pluie torrentielle et recevront les louveteaux royalement pour la journée commune. Un mystérieux pyromane profitera d’ailleurs d’un matin calme pour rallumer un feu de joie… (le retour du pêcheur fou de Cautines ?) Ce camp fut aussi marqué par la magnifique victoire des Goélands au challenge emmenée par leur CP Florence, une 1ère depuis bien des années. C’est un clan bien chargé (17 panthères en début d’année, puis 15 au camp d’été !) qui s’envole pour les routes d’Andalousie. Au programme visite de Grenade, Trevelez, San José et bien d’autres villes sous un soleil de plomb pendant 3 semaines…

2002
Comme prévu l’année commence par une assemblée plénière pendant laquelle Gayal est élu nouveau chef de Groupe et à qui il revient donc d’assumer le lourd héritage que Chevreau a laissé dans les esprits de chacun. Malgré la difficulté de la tâche, un gros travail commun des unités et de l’équipe de groupe fera de cette 1è » année de « transition » une réussite ! C’est une petite troupe de 3 patrouilles entourée d’une maîtrise bien au complet ( 7 responsables) qui prend la route de Cautines V. Le thème de la forêt enchantée voit resurgir des êtres tels les trolls, gnomes, magicien, elfes aux yeux de chats ou mat aux yeux d’hiboux… Un grand jeu itinérant dans un semblant de conquête de territoires enchantés à travers la campagne et les créatures, un concours-cuisine aux crêpes vertes et gluantes, un pêcheur fou toujours présent ( voir Cautines IV en 1996) et un zoop plutôt casse-cou entre 2 arbres, voilà les grandes activités qui ont marqué ce camp éclé. Du côté des louveteaux, c’est un camp très sportif qui les attend, avec de nombreuses activités maritimes des olympiades musclées de 2 jours, une descente en canoë, une journée piscine, une aqua-rando difficile, une course de bateaux en papier, un week-end pédestre tout autour d’un lac ponctué par une baignade… Et on se souviendra aussi du feu d’artifice au pied d’un pont avec les éclés. Le clan partira pour un camp itinérant à bord du trafic dans le Puy de Dôme et le Quental. La découverte de cette magnifique région d’Auvergne s’effectuera à travers la visite de ruines, de ballades au milieu des volcans ainsi que du lac Pavin qui remplit un cratère naturel. Les routiers profiteront de leur passage dans la région pour assister au festival d’Aurillac ainsi que pour effectuer un traditionnel service consistant en le nettoyage de rails de chemins de fer pour permettre l’utilisation de draisines (cherchez la définition dans un dictionnaire…).

2003
Le vote de confiance de la rentrée reconduit Gayal pour une nouvelle année, aidée par une toute nouvelle Equipe de Groupe composée essentiellement de responsables des maîtrises de l’année précédente. Un week-end permettra aux louveteaux de présenter un magnifique spectacle aux parents juste avant les départs en camps. C’est avec la plus grande joie que les troupes Lapérouse et Astrolabe accueillent les EEUF de Boulogne (Eclaireurs Unionistes) et leur fameux cri : « A Boulogne : ça cogne ! » ainsi que leur Bona qui n’en finit pas pour le camps d’été. C’est un camp béton avec plus de 60 personnes qui se met en place : 4 patrouilles du Groupe + 3 patrouilles d’éclés unionistes. Du coup une fraternelle concurrence s’installe dans le déroulement du camp. Le thème des îles anime les soirées en musique, couleurs et danses folkloriques : introduction en chansons puis bataille d’eau nocturne, initiation à la voile sur l’Atlantique et construction de tonnerres pour les Cerfs (patrouille d’EEUF féminine) pilotie solide et robuste, veillés promesse au bord d’un lac, parcours du combattant déchaîné. Tout y est ! Les louveteaux profiteront aussi de l’océan à proximité pour s’initier au solitaire et profiter des joies de la plage… Les routiers partiront au Liban, invités par la ville de Deir El Quaman en plein festival culturel à cette période. Après une visite de Beyrouth d’une semaine, un tournoi de pétanque mémorable ne sera pas de refus pour nos panthères. Les guides de la région recevront le clan dans leur local quelques jours et ne manqueront pas de leur faire visiter les alentours : forêt de cèdres, grottes, camp de formation de futurs responsables. Le clan assistera même à une remise de médailles officielles de la ville dans une grande réception.

2004
C’est en haute montagne que se déroule le camp de St-Lary-Soulan. En plein versant d’altitude, orages et canicule au programme de la météo de ce camp. Une vie quotidienne fatigante en montées et en descentes. Six patrouilles au total ; effectif en hausse qui se ponctue par la renaissance simultanée des Ours et des Fauvettes : les éclés traverseront les réserves naturelles au milieu des montagnes et descendront des rapides en rafting. Bataille de boules de neige en plein été, en voilà une étrange expérience alors que le grand jeu se déroulera en haut des monts. Les louveteaux se souviendront du week-end pédestre tout près des neiges éternelles, des jeux de nuit ainsi que de l’initiation au tir à l’arc comme de vrais petits indiens (thème du camp). Les louveteaux se rappelleront du cluédo géant de la journée commune et d’une magnifique descente en rafting… Lors de ce camp a lieu la 1ère Boum. La route composée de onze membres décollent pour le Bénin avec objectif du camp : le chantier pour réhabiliter une porcherie en foyer socio-éducatif dans le centre Lissezoun. Le centre accueille des enfants et leur apporte une formation scolaire tout au long de l’année. Dirigé par le scoutisme béninois, les EEDF ont mis en place un projet de construction de 10 ans. Visite du Bénin de Cotonou aux cocoteraies de Grand Popo, du temple de pythons de Ouidah ainsi que galères d’avions monumentales sont au programme. Une rencontre, un échange culturel et une expérience humaine inoubliable.

2005
Le groupe fête son 60ème anniversaire, et il y a du monde !

2006
Les éclés partent pour la seconde fois avec les unionistes de Boulogne. Une rivière traverse le camp : on y construit des tentes sur pilotis et on s’essaye à la spéléologie. Les routiers partent au Portugal.

2007
Les éclés font du canyoning au camp de Saint-Antoine. Des responsables plein d’entrain vont animer le groupe dans les années qui suivent : Ocicat, Harfang, Daman, Zibeline, Margay, Anoa, Xavier, Chamois, Kodiak, Suricate, Gibbon, Lynx, Cougar…

2008
Le groupe part à Saint-Pal-De-Mons dans l’Auvergne. Les routiers partent en Espagne. A la rentrée 2008, Lionne, ancienne et mère d’éclés prend la suite de Pécari comme responsable de groupe, poste qu’elle occupe encore aujourd’hui. Elle est aidée par Hulotte, sa soeur, et Virginie D. (Louve), mère d’éclé également.

2009
Le camp a lieu à Plumelec (Bretagne). On innove avec la «veillée intro» : Une veillée introductive du thème du camp qui donne souvent lieu à des surprises. En 2009, les éclés sont réveillés au milieu de la nuit par des pirates sanguinaires..
En 2010, les éclés partent pour Queaux dans le Poitou : On y joue aux cow-boys. Les effectifs reprennent réellement avec la création de la patrouille des Albatros et des Sternes.

2011
Le camp a lieu à Pont-Ravager dans les Cévennes. Un responsable arrive à cheval au camp pour la veillée intro. Les routiers partent au Monténégro.
En 2011, Chevreau nous quitte définitivement. Quelques anciens iront le voir dans sa dernière demeure, il n’avait hélas plus toute sa tête – mais il se souvenait très bien des cris du groupe, et de son chant. Le groupe a célébré son enterrement. Sur sa tombe, on a posé un signe de piste : «retour au camp».
A partir de ces années, une deuxième génération de jeunes fait son arrivée au groupe : il s’agit des enfants des éclés des années 80, qui ont grandi et se sont mariés – parfois au sein du groupe. Il s’agit des enfants de Lionne, Loutre, Béatrice et Jacques-Olivier, Daman et Mouflon, Sterne et Fennec, Hulotte, Tarpan, Okapi, Milan, Joachim, Puma, Laurent et Emmanuel Amon, Coati, Pécari, Judicaëlle, Luz…

2012
Le camp a lieu à Saint-Eloi. On joue aux indiens chez les éclés, et au cirque chez les louveteaux. Très belles veillées-intros. on se souviendra de la tente sur pillotis de la patrouille des cormorans, et d’un film reportage monté par Alexandre N. (Gibbon). Les routiers partent pour la Grèce.

2013
Création de la ronde des lutins : les Farfadets ! Camp à Herbitzheim en Alsace sur le thème du moyen-âge pour les éclaireurs, des cro-magnons pour les louveteaux et de la féérie pour les lutins. On y fabrique des montgolfières. Quelques nouveautés : une journée super-héros chez les louveteaux, le grand «burk» devient une bataille de peinture qui nous laisse de merveilleuses photos. Les routiers réalisent un chantier au Château de Guise

2014Camp au Boussais. Thème des 1001 nuits chez les éclés, la grèce antique pour les louveteaux, les romains et les gaulois chez les lutins. A la suite d’une alerte orange météo-france, on évacue le camp. Nous sommes 99 au camp ! Départ pour la Côte d’Ivoire pour les routiers.

2015
Notre groupe fête son 70eme anniversaire à Rambouillet. Les effectifs sont à leur maximum.
Nos responsables sont nombreux et plein d’entrain. Nous sommes en route pour de nouvelles et nombreuses aventures !